Une chape traditionnelle, comme son nom l’indique, utilise le processus ancestral dans sa confection. Comme il habille actuellement bon nombre de sol, on en déduit naturellement que c’est un support indémodable. Incontestablement, la chape traditionnelle est sans équivoque en termes de conductivité. C’est ainsi un bon allié pour un sol incluant des chauffages. De plus, la résistance qu’offre la chape est optimale. De tels avantages ne sont pas cependant respectés, si la pose n’a pas été effectuée correctement.
Etape 1 : Comprendre la spécificité d’une chape
La chape traditionnelle est une couche apposée à une dalle en béton. Il s’agit d’un mélange de ciment, d’eau et de sable à des compositions bien dosées à couler sur la dalle. Aussi, il corrige toutes les imperfections du sol et garantit essentiellement le support des revêtements du sol. S’il est plus commun de recourir à une chape traditionnelle dans les maisons nouvellement construites, il n’est pas aussi rare de le rencontrer en rénovation. Dans ce contexte, il corrige également le sol qui vient d’être dénudé de son ancien revêtement, ou améliore la régularité d’un sol abimé avant la pose d’un nouveau revêtement. Pour un projet de chape traditionnelle, n’hésitez pas à approcher willdesigncarrelage.be spécialiste de pose de revêtement et de tous les travaux connexes.
Etape 2 : Cerner différentes techniques de pose d’une chape traditionnelle
Certes la composition d’une chape est toujours la même mais la technique varie en fonction des spécificités du sol. Une chape traditionnelle est dite adhérente si elle est apposée directement sur une dalle en béton. On parle par contre de chape flottante quand elle couvre de l’isolant acoustique et thermique. Une chape traditionnelle est aussi le meilleur enrobage pour le système de plancher chauffant.
Etape 3 : La préparations du sol et les travaux préalables
La chape, bien qu’elle aille servir de couche réparatrice, se pose cependant sur un support sain et propre. Avant tout le projet, le professionnel évalue naturellement la quantité de chape nécessaire et surtout les besoins en amonts : notamment le film polyane, l’isolant, le treillis et les cueillies. Entre autres le film polyane est à poser avant l’isolant. Le treillis du carreleur vient après pour prévenir la craquelure de la chape. C’est un matériel qui existe en rouleau ou en feuilles. Finalement les cueillis sont apposées à titre de repère pendant l’étalement de la chape sur le support.
Etape 4 : Pose de la chape traditionnelle
Il convient ainsi de maîtriser un dosage de chaque matériau afin de permettre la bonne texture de la chape. Au sein de chaque surface de cueillies en place, la pose du ciment de la chape s’effectuera en régularisant le niveau à tous les coups. Il faut agir de largeur en largeur afin de faciliter cette opération. Si besoin, un niveau à bulle et une taloche sont des bons compagnons. Une chape traditionnelle met un peu plus de temps à sécher. Aussi, avant d’apposer le revêtement qu’il s’agit du carrelage, linoléum ou plancher.